Jeu de la roulette : la Martingale Whittacker

Le rôle principal de la Martingale Whittacker (en tant que montante), c’est de réduire la rapide progression des mises de la Martingale traditionnelle. Cette méthode offre certains atouts, mais également des contraintes que nous développerons dans le paragraphe suivant. Le principe de la Martingale Whittacker est de couvrir deux echecs à l’issue d’un seul gain. C’est pour cette raison que cette technique est moins prompte que la Martingale traditionnelle, puisqu’elle ne prend en compte que les 02 dernières échecs d’une série. Dans le cadre de la Martingale Whittacker, les séries d’échecs seront semblables à 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21, etc. Faut rappeler qu’il existe une variante de la Martingale Whittacker, qui s’étend cette fois sur 03 échecs répétés.

Les atouts et limites de cette méthode

La Martingale Whittacker est très abordable pour les débutants. L’opération à effectuer pour déterminer la mise suivante est en réalité la somme des 02 mises précédentes. L’illustration de mise à suivre sera donc 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21, 34 (1+2=3, 2+3=5, 3+5=8 etc.). Avec la Martingale Whittacker, on peut sans risque de se tromper percevoir une montée progressive des mises, contrairement à la Montante traditionnelle, qui est en quelque sorte son opposée. La difficulté réside dans le fait qu’un parieur doit avoir au moins 02 coups gagnants successifs pour délecter les échecs accumulés au départ. Par ailleurs, on remarquera aussi que le Martingale Whittacker ne fonctionne qu’après une suite de 03 fois la même couleur, ce qui survient assez rarement. De plus, comme pour toutes les techniques à la Roulette, le parieur devra s’arrêter lorsque son cumul sera positif. Il devra alors repartir de zéro en misant le montant minimal disponible, l’intérêt de la Martingale Whittacker étant d’avoir une certaine marge en cas d’échecs répétés. Voici ci-dessous un tableau vous expliquant la logique de la Martingale Whittacker.

Mise Résultat Montant Mise Gain et Perte Total
Rouge Noir 1 – 1 – 1
Rouge Noir 2 – 2 – 3
Rouge Noir 3 – 3 – 6
Rouge Noir 5 – 5 – 11
Rouge Rouge 8 + 8 -3
Rouge Rouge 13 + 13 +10

La martingale Whittacker en quelques mots

  • La Martingale Whittacker permet de garder un solde convenable même en cas d’echecs répétés.
  • La Martingale Whittacker est très pratique puisqu’il suffit de calculer lasomme des 02 mises précédentes.
  • La Martingale Whittacker permet derentabiliser un investissement périlleux puisqu’un seul coup gagnant permet par moment d’effacer 02 coups d’echecs successifs.
  • L’intérêt principale de cette martingale est qu’ elle ne demande pas de faire des gros paris. De ce fait, elle ne réclame pas de bankroll important et vous ne risquez pas d’atteindre le plafond de mises, ce qui vous empêcherez de la mener à bien. Cependant, son rendement est assez discutable, dans la mesure où elle ne vous permet pas d’être bénéficiaire que lors des deux premières parties. Ainsi, pendant une série de pertes, vous allez perdre beaucoup d’argent.

Pour d’autres techniques de roulette

Publicité

Glossaire de la roulette (2ème )

Dans la 1re partie de ce glossaire, nous vous rappelions qu’il était difficile voire impossible de jouer à la roulette si l’on ignorait les règles et la signification des termes utilisés dans ce jeu. La seconde partie du glossaire de la roulette vient ainsi compléter la longue liste des termes abordés précédemment.

  • L’Impair : signifie « Odd » chez les anglophones. Mise sur tous les numéros impairs à la roulette.
  • Le Jeton : signifie « Chip » chez les anglophones. Formé comme une pièce, il sert à miser sur les tables de jeu.
  • Les Jetons marqués : ils sont utilisés sur une seule table, et chaque joueur dispose d’une couleur pour le jeu.
  • Les Martingales : systèmes de mises pseudo-mathématiques.
  • La Mise : signifie « bet » chez les anglophones. Il s’agit des possibilités de paris à la roulette. Il s’agit de la mise maximale acceptée à une table de jeu. Ce plafond est mis en place pour empêcher l’utilisation de martingales.
  • Le Numéro de la maison : systèmes de mises pseudo-mathématiques.
  • L’Orphelin : c’est une annonce ou un jeton gagnant non réclamé. Ces jetons non réclamés sont collectés et reversés à des associations caritatives.
  • Le Pair : signifie « Even » chez les anglophones. Il désigne les dix-huit nombres pairs à la roulette française.
  • Le Paroliou Laisser poster : cela consiste à laisser le gain et la mise gagnante sur le tapis pour le tour suivant.
  • Le Pavage : c’est le fait de miser sur des combinaisons distinctes.
  • La Permanence : terme attribué à une série de numéros tombés précédemment.
  • La Pièce : c’est un terme qui désigne de façon informelle un jeton. À l’annonce « pièce pour les employés », un jeton de pourboire est introduit dans le tronc.
  • Le Plein : terme désignant un numéro à la roulette.
  • La Poussette : lorsqu’une mise est placée après l’annonce « rien ne va plus ».
  • Le Pourboire : offre à la hauteur de la mise.
  • La Progression : terme de martingale, consiste à augmenter la mise à chaque coup. La progression peut être rapide ou lente. Exemple : la progression d’Alembert.
  • Le »Rien ne va plus » : annonce faite par le croupier, interdisant la mise de jetons supplémentaires.
  • La Série : terme désignant la sortie du même numéro, de la même couleur ou de la même chance simple plus de 02 fois consécutivement.
  • Le Tableau : terme désignant le tapis où sont déposées les mises, le plus souvent une feutrine imprimée.
  • Le Tableau de permanence : c’est un tableau d’affichage au-dessus des tables de roulette qui affiche les vingt derniers numéros tombés.
  • Le zéro : encore appelé numéro de la banque, il reste tout de même un numéro comme tous les autres sur lequel vous pouvez miser. Ce numéro est considéré comme étant ni pair, ni impair à la roulette. La règle de la mise en prison s’applique lors de la sortie du zéro à la roulette française. La roulette américaine est dotée d’une case « double zéro », les probabilités de gagner s’en trouvent diminuées. La roulette mexicaine dispose d’une troisième case, dite « triple zéro ».

Pour apprendre à jouer à la roulette comme des professionnels: http://methodepourroulette.com/

Voyez une démonstration vidéo ici:

Glossaire de la roulette (1er partie)

Il est difficile, voire impossible de jouer à la roulette si l’on ignore les règles et la signification des termes utilisés dans ce jeu. Dans cette première partie du glossaire, nous définirons quelques termes utilisés à la roulette.
– L’annonce : le joueur indique au croupier les combinaisons qu’il a l’intention de jouer en déposant ses jetons sur le tapis.
– L’arroseur : c’est un joueur qui fait des mises importantes et de façon aléatoire sur le tapis.
– L’association : c’est un regroupement de joueurs qui peuvent appliquer les martingales en passant outre les limites des mises maximales.
– Baronnages : complicité illicite entre joueurs et croupier.
– Le bouleur : c’est un mot désignant les croupiers assis devant le cylindre à la roulette française qui lancent la boule dans le cylindre et procèdent au paiement des chances gagnantes.
– Le cadavre : c’est un terme désignant un joueur qui perd régulièrement.
– Le carré : c’est une mise placée à l’axe de 4 cases de numéros sur le tapis de la roulette.
– La chance simple : c’est un terme désignant certaines chances (mises) à la roulette : on peut citer : manque, impair, passe, noir, rouge, pair
– La comptabilité des chances : c’est le suivi des mises et des suites de numéros sortis pour pouvoir appliquer une martingale.
– Le contre la banque : c’est une possibilité de jeu à la roulette qui consister à miser l’inverse de couleurs ou des séries de numéros sortis précédemment. Si par exemple, il arrive qu’un joueur mise sur le noir, après maintes sorties de rouge, celui-ci jouera contre la banque.
– La coupure : c’est un terme qui désigne la valeur des jetons. 2, 5, 10, 20, 50, 100, 500, 1000, 5 000, 10 000 sont en effet, les coupures courantes des jetons.
– Coup de l’empereur : c’est une expression qui qualifie le joueur qui mise sur une chance simple tout son gain avant de quitter le tapis de jeu.
– Crouper : c’est un terme qui désigne le lancer des jetons des croupiers aux gagnants.
– Croupier : c’est un terme qui désigne le personnel du casino responsable du Blackjack, jeux de table, poker, à la roulette.
– Le croupier du bout de table : c’est un employé du casino qui est assis en bout de table, et qui assiste les bouleurs lors du paiement des colonnes, les douzaines, du rouge et du noir et qui effectue les annonces pour les joueurs.
– Le cylindre : c’est un terme désignant le plateau tournant de 37 numéros à la roulette anglaise ou français (roulette européenne) ou de 38 numéros à la roulette américaine où est lancée la boule.
– La dernière : c’est un rappel du croupier pour annoncer que la table ferme dans 3 tours.
– Le doublé : c’est un terme qui annonce la sortie deux fois de suite d’un nombre à la roulette.
– Faire Charlemagne : savoir stopper après un gain, avant que la chance ne tourne.
– Faites, vos jeux : c’est un appel du croupier invitant les joueurs à placer leurs mises.

Pour apprendre à jouer à la roulette en ligne, visitez-nous

Addiction aux jeux

Un joueur compulsif est sujet à des idées erronées, voire irrationnelles, en voici les plus fréquentes :

1/ L’illusion du contrôle, c’est ce que va ressentir le joueur totalement persuadé que les jeux de hasard comportent une plus grande part d’influence personnelle que ce n’est le cas objectivement. Et donc, c’est partant de cette fausse idée, qu’Il attribue ses gains à sa propre capacité et ses pertes à des circonstances malheureuses.

2/ L’effet Monte-Carlo, qui consiste pour le joueur à la suite d’une répétition d’évènements antérieurs, de se persuader qu’il peut en tirer des conclusions. Pour le jeu de la roulette, si le noir est tombé trois fois de suite, il est quasiment sûr de cette probabilité, soit que le rouge tombera au tour suivant.

3/ La mauvaise interprétation des probabilités de gains. Dans cette alternative, le joueur surestime souvent de manière surréaliste sa chance de gains. Par exemple, il faut savoir qu’au Loto 98% des mises ne sont pas récompensées.

4/ Le manqué de peu, phénomène particulier aux machines à sous relatif au symbole qui doit apparaître trois fois pour générer un gain. Un joueur trop confiant après deux affichages du symbole, persuadé qu’il a raté le jackpot, doit donc persévérer.

5/ L’emprisonnement qui est l’acharnement à une mauvaise décision, destiné à justifier l’investissement déjà effectué. D’accord, je suis battu, je dois bien l’admettre, mais qu’importe je vais recommencer.

Quels sont les individus les plus menacés ? Pratiquement toujours des hommes, surtout des célibataires d’une trentaine d’années environ. Il est même probable que cette dépendance a débuté souvent dès l’adolescence. Pour les femmes, bien moins nombreuses, le début de l’addiction apparaît souvent en milieu de vie.

En règle générale, lorsqu’ils sont admis en traitement, ces joueurs sont très souvent surendettés, parfois certains avec des tendances suicidaires, voire même pour quelques-uns d’avoir commis des délits criminels pour se procurer de l’argent.

25% des joueurs accompagnés ont tenté de se suicider et 90% ont des troubles de la personnalité. Celui-ci se distingue par un type de comportement perturbé à apparition répétée, apparue pendant l’enfance ou l’adolescence, ce qui les conduit à de lourds problèmes sociaux. Il s’agit souvent du trouble narcissique de la personnalité concrétisé par un sentiment démesuré de sa propre importance, le patient exagère constamment ses talents et ses performances, totalement saisi par des rêves excessifs de succès, de gloire, de pouvoir. Il se croit singulier et unique, et a un besoin constant de l’admiration d’autrui.

Quid des conséquences à un jeu pathologique ? Elles se concrétisent par le besoin de combler ses pertes, par des mises de plus en plus importantes, tel qu’au Poker qui consiste de partir en « tilt ». Vient alors une isolation sociale, accompagnée de sentiments de culpabilité et de honte. On commence par se cacher pour jouer, pour ensuite, intégrer un milieu de joueurs et, partant de là on adopte un style de vie propre au joueur uniquement caractérisé par l’orientation à répondre uniquement aux besoins subits. Cette attitude risque de favoriser les activités criminelles destinées à se procurer de l’argent pour le jeu. Ce sera inexorablement la déroute financière, la faillite, la perte du support familial, ainsi qu’une menace sur l’existence professionnelle. C’est le chemin vers des tentatives suicidaires suivies très souvent par des séjours en hôpitaux psychiatriques.

Que faire en cas d’addiction ? D’abord bien déterminer si ce comportement présente réellement une pathologie. On peut faire alors appel à Adictel ou SOS Joueurs pour obtenir le bon diagnostic. Il faudra choisir entre un traitement stationnaire ou ambulatoire. Pour un patient bien encore intégré socialement, on préconise des visites régulières par un espace conseil, un psychothérapeute, un psychologue. En cas de symptômes aggravés, on peut envisager un traitement stationnaire, ou une clinique à orientation psychosomatique ou dans une clinique de la dépendance. Une telle thérapie appliquée inclut un accord contractuel sur le respect d’une totale abstinence aux jeux de hasard. Dans tous les cas, il est essentiel de bien définir le fonctionnement exact du comportement addictif, de discuter des cognitions erronées, de développer un concept de prévention des rechutes. Enfin, il est essentiel de prendre en compt e la problématique de l’endettement du patient et donc développer un système de gestion de l’argent et des dettes. Evidemment dans cette optique, il est important d’intégrer les proches de ce processus, car en épongeant les dettes du patient, ils l’ont souvent conforté dans son comportement pathologique.

La guérison ne s’obtiendra que par un consensus patient entre la famille et le corps médical.

Pour apprendre à jouer de manière raisonnable à la roulette

Les probabilités de gains à la roulette

Une anecdote raconte que le jeu de la roulette est apparenté au diable. Écœurés de ne pas remporter les gains attendus à la roulette, certains joueurs sont forcés d’accorder du crédit à cette anecdote. Or, il est tout à fait possible de briser le mauvais sort, et même d’augmenter ses probabilités de gains. Voir cette vidéo

Puisque l’on parle de malédiction et de gain à la roulette, savez-vous qu’il est possible de calculer son espérance de sortie de chaque chance ? Et oui ! Cela est bel et bien possible : il suffit de diviser le nombre de numéros sur lesquels vous voulez parier par le nombre total de numéros constituant la roulette. Multipliez ensuite le résultat obtenu par cent. L’opération vous parait difficile à poser ? Cela n’est pas bien grave. Essayons de schématiser le calcul de l’espérance de sortie des chances : Es = (Nb / 37) x 100. Rappelons que « Es » représente l’espérance de sortie de chaque chance et Nb se réfère au nombre de numéros sur lesquels le joueur souhaite parier.

Pour éclairer d’avantage, votre lanterne, voici un autre exemple : en règle générale, tout genre de pari plein détient une espérance de sortie de 2,7 %. Qu’est-ce que cela veut dire ? On remarque que lorsqu’on effectue le calcul suivant : (1/37) X 100 = 2,7 %, sur approximativement 100 lancers, la bille est susceptible de s’arrêter 02 voire 03 fois sur chacun des numéros composant le jeu. Dans le prolongement du jeu, l’espérance de sortie des chances se veut donc régulière et équitable.

Essayons une fois de plus de schématiser cet autre exemple :
– Pour un numéro plein et un numéro joué, l’espérance de sortie est de 2,7 %.
– Pour un cheval et deux numéros joués, l’espérance de sortie est de 5,4 %
– Pour une transversale et trois numéros joués, l’espérance de sortie est de 8,1 %
– Pour un carré et quatre numéros joués, l’espérance de sortie est de 10,8 %
– Pour sixain et six numéros joués, l’espérance de sortie est de 16,2 %
– Pour une douzaine / colonne et douze numéros joués, l’espérance de sortie est de 32,4 %
– Pour une chance simple et dix-huit numéros joués, l’espérance de sortie est de 48,6 %
– Pour un manque / passe + sixain et 24 numéros joués, l’espérance de sortie est de 64,9 %
– Pour deux douzaines + sixain et trente numéros joués, l’espérance de sortie est de 81,1 %
Après l’analyse de cet autre exemple, on peut affirmer que plus le nombre de numéros joués est significatif, plus les chances de remporter sa mise initiale sont grandes.

L’avantage du casino
Il est naturellement possible de calculer l’avantage du casino, si l’on peut déterminer l’espérance de tirage de chaque numéro. Cet avantage avoisine 1,37 % sur les « Chances simples ». Le joueur a le choix entre plusieurs options dans le ce typique : soit il partage sa mise initiale et gagne la moitié du montant mise en jeu, soit il choisit la mise en prison, qui offre l’avantage de récupérer tous ces jetons. 2, 7 % représente l’avantage du casino sur l’ensemble des autres « chances ».

Voir le site 

Astuces roulette

Dans le langage des jeux de hasard, le terme martingale représente la théorie des probabilités. Cette stratégie de jeux à la roulette consiste pour le joueur à doubler sa mise à chaque perte, pour se retirer avec un gain sûr, étant supposé qu’il gagne au moins une fois.

Il est donc raisonnable de penser que cette stratégie de jeux peut être considérée comme absurde.

Cependant, elle est très souvent appliquée et souvent enseignée. Nul ne peut pas ignorer que la roulette consiste à miser sur un ou plusieurs numéros, sur une couleur et espérer que la bille tombera précisément sur les cases jouées auparavant. La probabilité de gain sur un seul numéro est de 1/37, avouez qu’avec ce score, vous risquez de doubler vos mises plusieurs fois et probablement vider votre porte-monnaie.

Par contre, l’astuce qui vous donnera plus de satisfaction consistera à miser sur une chance simple.

Vous vous contentez de miser exclusivement sur les couleurs noir ou rouge, sur le passe ou le manque ou sur pair et impair. De cette manière vous diminuez l’avantage du casino à la roulette à 1,35%. En effet, jouer sur des mises simples est partagé entre la banque et le joueur lorsque la bille tombe sur le zéro.

 

La roue déséquilibrée. Le premier tricheur qui en a profité s’appelait : Joseph Jagger. C’était en 1873 au casino de Monaco. Il avait remarqué où la bille avait le plus tendance à s’arrêter. Pour prévenir à ce genre d’exploit, le casino a tout intérêt à bien suivre les performances des cylindres et doivent les rééquilibrer régulièrement pour que les résultats des tours soient aussi aléatoires que possible.

Et même avec toutes ces précautions, des numéros continuent de sortir plus souvent que d’autres..

N’oublions pas que nous en sommes à l’ère des hautes technologies et des ordinateurs.

C’est ce qu’a brillamment réussi à faire le dénommé : Gonzalo Garcia-Pelayo en 1990 au Casino de Madrid. Muni d’un logiciel performant et en misant sur les chiffres qui avaient le plus de chance de sortir, il a été capable avec les membres de sa famille, d’amasser plus d’un million de dollars sur une période de plusieurs années. S’étant aperçu que certains numéros sortaient plus souvent que d’autres, il a eu l’idée de créer un logiciel « Los Pelayos » qui lui permettait de connaitre plus facilement les numéros gagnants.

Lorsque la légalité de sa méthode fut remise en cause par les casinos, une cour de justice a tranché en sa faveur. Inutile de vous préciser que la famille Pelayos est devenu persona non grata dans les casinos du monde entier.

Les anglais, eux, utilisent les téléphones portables pour prédire les zones.

C’est en 2004 qu’un groupe de joueurs à Londres a utilisé cette triche avec des téléphones équipés de caméras pour prédire où s’arrêterait la bille, c’est ce qu’on appelle un ciblage de secteur. En décembre 2004, la cour de justice à Londres a décrété qu’ils n’avaient pas triché, car cette technique n’influençait pas le trajet de la bille. Ils ont pu ainsi conserver les 1,3 millions de livres qu’ils avaient gagnés.

Pour connaître les principales astuces pour gagner à la roulette: http://www.gagneralaroulette.net/

 

Comment gagner à la roulette ?

Si l’on veut bien prendre le temps de la réflexion à laquelle on ajoute une bonne dose de bon sens, statistiquement, on peut affirmer que la roulette est un jeu de hasard. On peut se torturer les méninges dans tous les sens, il n’existe aucun moyen de déterminer où la bille va atterrir dans le cylindre. Même après des heures d’observation du matériel, des gestes plus ou moins accentués selon les croupiers, la bille ne va pas se poser ou vous voulez, il n’y a pas de clé pour battre la roulette.

Et pourtant, battre la roulette est possible. Il suffit de sagesse pour appliquer correctement une stratégie qui vous permettra de gagner de façon constante. La méthode de « toujours jouer sur le rouge et le noir » reproduite sur la vidéo ci-dessous en est une :

Les joueurs impénitents ont souvent une réponse simple quand on leur demande : Comment gagner ? Ils vous répondront que la meilleure manière de gagner à la roulette : c’est d’être chanceux. La stratégie de la couleur, le rouge et le noir, il la qualifie de : stratégie d’audace maximale.

L’objectif consistant de toujours doubler votre mise, une fois sur le rouge ou le noir, ou même pair ou impair. C’est un jeu d’expectation négative dans laquelle vous aurez environ 47% de chance de doubler votre mise.

Partez à la découverte d’une marche à suivre.

Supposons que vous avez eu la patience de bien visualiser les cinq derniers résultats d’une partie de roulette sur la chance simple Noir et Rouge. Nous aurions aussi bien choisir Manque et Passe ou Pair et Impair.

Vous avez bien enregistré mentalement où exactement s’était arrêtée la bille sur : NOIR, NOIR, ROUGE, NOIR puis NOIR.

C’est à ce moment-là que vous entrez en piste, vous vous installez à la table pour jouer et lors des cinq prochains coups vous jouez les résultats inverses, soit : ROUGE, ROUGE, NOIR, ROUGE puis ROUGE, jusqu’au premier coup gagnant, en utilisant la montée directe 1, 2, 4, 8 et 16 pièces. Ce qui donnera les probabilités suivantes :

– 1 chance sur 2 de perdre le premier coup.

– 1 chance sur 4 de perdre les deux premiers coups.

– 1 chance sur 8 de perdre les trois premiers coups.

– 1 chance sur 16 de perdre les quatre premiers coups.

– 1 chance sur 32 de perdre les cinq coups.

Ainsi, dès que vous jouez sur cinq billes, vous n’avez qu’une chance de perdre contre 31 chances de gagner. Les probabilités de gagner sont donc réellement de votre côté. Vous avez donc 90% de chance de gagner, soit 9 chances sur 10.

Même si cette stratégie peut vous paraître avantageuse, il faut garder son sang-froid et toujours garder à l’esprit, qu’à un moment donné, vous allez subir la loi de l’équilibre. Vous allez immanquablement perdre, de temps en temps, et donc vos parties gagnantes risque de diminuer, voire même d’être annulées.

Cette technique devait donc être utilisée dans le seul et unique but de vous amuser au Casino, avec une excellente probabilité potentielle de gain. Elle se révèle, en effet, très simple et plaisante à mettre en place, puisqu’elle vous garantit du plaisir et même de nombreuses parties gagnantes.

Mais sur le long terme, elle n’est pas à conseiller, elle vous a permis uniquement à illustrer comment il est possible de gagner en moyenne 9 fois sur 10.

Quelles conditions sont nécessaires pour gagner à la roulette ? Apprenez avec des professionnels de la roulette qui gagnent leur vie en jouant : http://www.autopiamusic.com/

 

Les règles de la roulette française

Voici  les règles de la roulette française pour ceux qui sont débutants en la matière.

Le tapis de la roulette comporte 37 numéros. Ces numéros sont répartis en 3 colonnes. Chaque colonne contient 12 numéros pour un total de 1 à 36, en plus du zéro placé sur la largeur du tapis au sommet des 3 colonnes. La case de zéro est de couleur verte, 18 cases portent la couleur noire et 18 autres la couleur rouge. De chaque côté des colonnes est marqué les « chances simples » (manque, noir, passe, impair, rouge, pair). Les « douzaines » marquent les limites des « chances simples », tandis que les « colonnes » marquent les limites des cases.

La règle du zéro
Plusieurs possibilités sont envisageables par le joueur dans le cas d’une sortie en zéro, après la mise sur une des chances simple :

  • Le partage de sa mise avec la banque : le croupier partage de moitié la mise avec le joueur.
  • Le choix entre la mise en « prison » : la mise est placée par le croupier dans la partie prison du tapis de jeu, en attendant les résultats du coup suivant : la banque saisie intégralement la mise, si la chance initialement jouée se perd, et dans le cas contraire, le joueur récupère intégralement sa mise sans gain.

Bon à savoir : le zéro ne fait en aucun cas partie des douzaines, ni des colonnes. Il n’est non plus pair ou impair.

Le paiement des mises
– Les chances simples correspondent à une fois la mise
– La colonne à deux fois la mise
– La douzaine à deux fois la mise
– Le sixain à cinq fois la mise
– Le carré à huit fois la mise
– La transversale à onze fois la mise
– Le cheval à dix-sept fois la mise
– Le numéro plein à trente-cinq fois la mise

Les probabilités
– La mise d’un numéro (plein) correspond à 36 contre 1
– La mise de 2 numéros (cheval) correspond à 17,5 contre 1
– La mise de 3 numéros (transversale) correspond à 11,33 contre 1
– La mise de 4 numéros (carré) correspond à 8,25 contre 1
– La mise de 6 numéros (sixain) correspond à 5,17 contre 1
– La mise des chances simples correspond à 1,01 contre 1
– La mise de la douzaine correspond à 36 contre 1
– La mise de la colonne correspond à 2,08 contre 1

L’avantage du casino à la roulette française est de 2,7 %. Cet avantage résulte du fait qu’il existe la case zéro dans le jeu. Lorsque la bille tombe sur cette case, le casino remporte l’intégralité des mises. La présence de la case zéro, permet au casino d’avoir un avantage sur les joueurs.

Le montant minimum et maximal des mises et les traditions
Dans un jeu de roulette française, le montant minimum de la mise varie d’un casino à l’autre. La mise maximum varie selon le type de pari : carré, cheval, …
En ce qui concerne la tradition, la coutume demande dans plusieurs casinos, que le joueur qui a gagné sur un numéro plein donne l’équivalent de sa mise en pourboire au croupier.

Pour tout savoir sur les méthodes pour roulette : http://www.israelvworld.com//

Un exemple de méthode en vidéo:

Qu’est-ce que la roulette?

L’histoire de la roulette. Elle fit son apparition, pour la première fois, en Italie au début du XVIIème siècle. Ce mot « roulette » a débuté à l’Hôtel de Soissons à Paris en 1716. Il n’était question à cette époque que d’une roue avec des cases numérotées, dans lesquelles une bille entraînée aléatoirement par le mouvement de la roue aboutirait dans l’une de ces cases. Ce n’est qu’à la fin du XVIIIème siècle qu’apparurent les numéros rouges et noirs.

Ce jeu de hasard illégal depuis 1836 ne pouvait se jouer que dans des tripots clandestins et ce n’est que plus tard au début du XIXème siècle à Monte Carlo que la roulette va devenir populaire, grâce à Charles III de Monaco qui légalise les jeux d’argent dans sa principauté et ainsi ouvre le premier « Casino » en 1860.

Les immigrants français exportent ce jeu aux Etats-Unis, qui y ajoute une case supplémentaire, le double zéro aux 37 numéros de 0 à 36 de la « roulette française » alternativement rouges et noires, à l’exception du zéro qui est vert.

La « roulette américaine » comprend 38 cases numérotées de 0 à 36 également alternativement rouges et noires, à l’exception du zéro et du double zéro qui sont verts.

Aux USA elle était prohibée pendant la prohibition de 1919 à 1932, et ce fut le Nevada qui l’autorisa et l’introduisit dans les casinos de Las Vegas, ce qui la rendit populaire dans le monde entier.

La bille est en ivoire, plus souvent en résine ou téflon. Elle est lancée par le « croupier » en sens inverse de la rotation de la roulette et ira se loger sur un numéro de la roulette.

De nos jours en Europe, on pratique « la roulette européenne ». Il s’agit de deux variantes peu différentes, la roulette dite française et la roulette anglaise jouée comme la roulette française mais sur un tapis américain. C’est le « croupier » qui en faisant tourner le cylindre et projette la bille (ou la boule, nom exact) en sens inverse qui fait l’annonce traditionnelle « Faites vos jeux »

Les joueurs autour de la table peuvent alors poser leurs jetons sur le tapis, à moins qu’ils demandent au croupier de le faire. C’est ce qu’on appelle « faire une annonce ». Selon le type de mise, le jeton sera positionné soit sur une seule case ou à cheval sur deux, trois ou quatre cases. Ensuite, dès que le croupier annone « rien ne va plus », il n’est plus possible de miser ni de déplacer vos jetons déjà placés.

Lorsque la boule entre en contact avec les cases de la roue et se met à rebondir de cases en cases, le croupier prononce « les jeux sont faits ». Et ce n’est qu’après l’arrêt définitif de la boule sur une case de la roue que le croupier pourra annoncer le numéro sorti. Il ne lui restera plus alors qu’à ramasser les jetons perdants et procédera au paiement des mises gagnantes.

Pour tout avoir sur la roulette en ligne: www.methodepourroulette.com